[RP] Un cadeau à l'intention de la centurie.

Dans le coffret une une lettre et quelques dizaines de cookies avec quelques macarons dont la forme est très perfectible. (Ils sont plutôt ovales, pas parfaitement lisses)
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*la lettre est propre, très soignée comme l'écriture.*

Aux Centurions, Légionnaires, Soldats d'élites et soldats, recrues, et autres membres de la Centurie,

Le Soldat Mortflamme et moi-même, Mortépine, prenons la décision de vous quitter. Je pense que vous devinerai les raisons, étant des soldats inaptes, incapables, indisciplinés, anarchiques, vulgaires, et incompétents, nous nous laissons porter vers le vent qui nous mènera vers des lieux plus propices à l'exercice de notre incompétence. C'est vrai, vous n'avez besoin de personne pour vous soigner et vous faire vos potions. Vous savez tout faire. Vous n'avez pas besoin de nous. Même les haineux envers la magie l'utilisent pour se soigner. Pour les sanglants, cela veut dire que nous allons nous diriger vers des personnes qui voudront bien de notre inutilité, ou qui seront capable de nous reconnaître à nos justes valeurs.

PS : Les pots de fleurs peuvent être plus qu'une décoration. Pour certaines, qui s'y frottent s'y piquent. C'est de ces plantes de décorations dont vous pouvez ouvrir les feuilles et y mourir du liquide qui s'y écoule.

PS2 : Méfiez-vous de l'Infanticide. On peut recouvrir un mur austère et maussade d'un voile resplendissant. Ou peindre une beauté pour en masquer la vérité.

PS3 : GNKCPVG GUV WPG RWVG.

PS4 : Il y a beaucoup de PS. Ah, et j'ai laissé des cookies pour vous. Et mes essais de macarons. Oui, je fais mon boulot jusqu'au bout. Régalez-vous bien. Ah, ils ne sont pas empoisonnés, au cas au ce qui a été dit au-dessus vous aurait fait peur.

Le café est amère. Et les côtes de porc sont frites.

Ex-soldats Mortflamme et Mortépine.

La scribe de Fabrikus Fortegriffes aperçoit le coffret et l'ouvre. Elle enfourne un macaron dans sa gueule et commence à lire la lettre devant un centurion très affairé dans ses papiers.

"Centurion Fortegriffes. Une lettre." dit la scribe.

"Lisez." répondit le centurion en changeant un parchemin, et en suivant de son doigt griffu une carte de la Montée de Flambecoeur.

"...Le soldat Morteflamme et moi-même... quitter... inaptes, incapables... Savez tout faire..."

"Classez-moi ça." coupa le centurion, ayant écouté d'une oreille distraite, toujours le nez plongé dans ses papiers.